Votre personnage :
Nom : Czenia
Prénom(s) : Alevtina, Apple
Age : 32 ans
Sexe : F
Maison : Serpentard
Profession/année d'étude: Serais grandement interessée par un poste au ministère de la Magie. / Etudes terminées depuis longtemps.
Caractère et physique du personnage :
Caractère : A l'origine, je pense que je devais avoir un caractère gourmand et enjoué, passioné et exalté. L'envie d'apprendre m'aparaissait comme évidente auparavent, mais aujourd'hui, tout cela à disparut. Il n'y a qu'un néan, une abîme de noirceur emplie de rancoeur et d'acrimonie. L'indifférence est devenu mon maître mot.
Description physique : Grande, brune, svelte et mince, j'ai une allure assez sportive. Mon visage est assez brut, mais subsiste en lui une certaine fragilité.
Histoire du personnage :
Mes jeunes années ne me reviennent pas mémoire avec autant d'aisance et de limpidité que je l'aurais escompté. Quelques dérisoires et insipides bribes de souvenirs, rien de plus, me parviennent encore. Néanmoins, je me sens le besoin de préciser mon appartenance à une famille de sang-pur, depuis des générations. Mais pour être honnête, ma vie ne commence qu'à un moment très précis, le jour ou j'ai reçu ma lettre de Poudlard.
Ce jour là...
Confortablement installée sur le fauteuil défraîchi du salon, un vieux grimoire posé sur mes genoux en tailleur, je spéculais déjà sur la magie et ses protagonistes. Comme si ce monde avait toujours fais partie de moi. Malgré la longue lignée de sang-purs qui s'étirait derrière moi, mes parents ne m'avaient jamais astrainte à parcourir les livres concernant la magie. Ils n'en avaient nullement le besoin, puisque mon temps libre se résumait à littéralement engloutir la bibliothèque familiale qui regorgeait de trésors en tout genre. De livres de magie noire, des livres de Potions, de manuel d'incantations et pleins d'autres merveilles qui ne demandaient qu'à me laisser aspirée dans les méandres de leurs pages. A l'époque où ma lettre arriva à sa destination, je connaissais déjà moultes sortilèges et autres formules magiques, mais seulement en théorie. Cette frustration extrême et dérangeante venait de trouver une délivrance. Cette lettre... A partir de cet instant, je ne vivais que pour ça. Aller à Poudlard, ou mon savoir allait enfin pouvoir etre mit en action. J'allais m'initier à d'autres pratiques, faire fleurir mon envie d'apprendre, assouvir ma soif de connaissance, que les livres de mes parents, que j'avais lu dans leur intégralité, ne pouvaient sustenter. Après cette merveilleuse nouvelle, mes parents m'accompagnèrent au Chemin de Traverse, ou mes yeux pétillaient d'excitation à la vue des magasins regorgeant d'objets magiques, des jeune sorciers qui tout comme moi, avaient probablement reçus leur lettre.
Ce jour-là, j'acquis, avec une certaine animosité dans les battements de mon coeur, ma première baguette. Notre premier contact fut chaud et agréable. Je sentais en elle un pouvoir qui ne m'avais encore j'aimais été permis d'imaginer. Elle s'offrait à moi telle une porte ouverte vers toutes les déraisons...
Mon arrivée à Poudlard me fit rapidement déchanter sur mes idées de grandeur. Ce n'était rien qu'un vieux château vetuste, entouré d'un lac on ne peut plus quelconque (à première vue). A quoi m'étais-je attendue? Je ne saurais le dire, mais mon imagination avait été peut être sur ce coup là un peu trop débordante.. Ma répartition fut brève, et sans autre forme de procès, je fut envoyée dans la maison Serpentard.
PREMIERE ANNEE
Le début de mes études à Poudlard conserva son aspect peut attractif. Tout ce que l'on étudiait, soit je le connaissais déjà, soit il était sans grand interet pour moi d'apprendre encore et toujours de la théorie. Mon envie était plus grande, je voulais de l'action, des combats, des séances de pratique axées sur le maniement de la baguette. Mais... mon esprit insatisfait devait suivre les cours avec un certain septicisme que je ne m'efforcais guère de camoufler. Il était devenu évident que .. je m'ennuyais.
DEUXIEME ANNEE
Une année qui débuta tristement. Ma baguette s'étant vulgairement brisée en tombant par la fenêtre du train, alors que j'essayais desespérement de faire se soulever un mouton dans un champ voisin. Je dû repartir chez Ollivanders de toute urgence, par le réseau de cheminée que le professeur Dumbledore avait allègrement ouvert pour moi. De retour au château, l'année se passa comme la précedente, avec ce meme sentiments de stoîsisme face au cours, que je suivais néanmoins assiduement. En ce qui concernait les autres élèves, rien de bien particulier, si ce n'est les moqueries incessantes de la part des camarades de ma propre maison. Il est vrai qu'à cette époque, je possédais une vision très particulière et personnalisée sur la façon de se coiffer.
TROISIEME ANNEE
Cette année fut pour moi une année importante. Les professeurs avaient décidé de nous faire utiliser la baguette pour certaines transformations basiques en classe de métamorphose. J'en fut ravit et m'y adonna avec un entrain et une passion que personne ne m'avait vu afficher jusqu'alors. Malheureusement, ce fut de courte durée, et mon engouement se vit fondre comme neige au soleil. Pendant ce temps, la relation déjà conflictuelle avec mes camarades empira. Mon caractère belliqueux l'emporta sur ma raison, et je me vit envoyer un garçon trop insultant à mon gout, profiter des délicates senteurs fleurales.
QUATRIEME ANNEE
Une rencontre décisive se fit cette année là. Après nombres de déboirent avec les autres, une fille vint à moi. Elle était blonde, candide d'apparence, petite et fragile. Elle fut gentille avec moi, et elle parvint à me faire baisser ma garde, chose que les autres n'étaient jamais parvenus à faire. Je ne sais pas vraiment si cela s'appelle de l'amitié. En tout cas, en fil des moi, je sentais naitre en moi un sentiment de profonde confusion, puisque mes sentiments étaient mit à rude épreuve. Etait-ce donc ça, l'amitié dont tout le monde parlait avec tant de liesse et de jubilation.
CINQUIEME ANNEE
Néphée partageait tout avec moi. Mais je ne parvenait pas à faire de même. Elle ne m'en tenait pas rigueur bien entendu, nous en avions parlé, et nos discutions tounaient donc autour d'elle. Je connaissais sa vie dans les moindres recoins poussièreux ainsi que chacune de ses pensées. Elle me faisait par de toutes ses inquiétudes, ses doutes, ses joies, ses amours... Côté cours, je les suivait, sansgrand interet, mais mes notes deumeuraient excellentes.
resultats de mes buses:
Théorie de Sortilèges : O
Pratique des Sortilèges : O
Théorie de la méthamorphose : E
Pratique de la méthamorphose :O
Botanique : A
Théorie de Défence contre les forces du Mal : A
Pratique de Défence contre les forces du Mal : E
Théorie de Potions : A
Pratique de Potions : O
Soins aux créatures magiques : A
Théorie Astronomie : E
Pratique Astronomie : E
Divination : A
SIXIEME ANNEE
Ses amours avais-je mentionné? Et bien...c'est pour l'un de ses "amours" que Néphée m'a lachement abandonné. Je me suis retrouvée seule, à la regarder papilloner et marivauder avec différents garçons. Puisqu'après s'être faite jetée par le premier, celui responsable de notre séparation, elle n'eut probablement pas l'hardiesse de revenir vers celle qu'elle avait écartée de sa vie pendant quelques mois. Une année déplorable en soit..
SEPTIEME ANNEE
Je n'ai pas été jusqu'au bout. Je n'ai pas passé mes Aspics... Mon année a été désastreuse et c'est une période de ma vie que je préfère oublier. Si un jour quelqu'un parvient à me faire parler et a me confier, peut etre connaitra t-il la suite de l'histoire.
A près mes études, j'ai travaillé dans un bar sur le Chemin de Traverse pendant 7 ans. J'ai ensuite démissionné suite a de nombreux problèmes pour être embauchée pendant 3 ans dans un magasin de magie noire dans l'Allée des Embrumes. Je n'avais pas beaucoup d'argent pour me nourrir et le gérant du magasin m'offrit une chambre au dessus de sa boutique. Un jour, mon 35èmè anniversaire passé de quelques semaines, je reçu un élégant cadeaux dans ma boutique. Un homme, grand, svelte, l'air arogant et hautain, suivit par se frêle petite épouse soumise et recroquevillée sur elle même. Mon sang ne fit qu'un tour en découvrant le visage de cette personne. Néphée...Elle m'aparue comme une oiseau blessé, un animal apreuré, enfermé. Bien fait! Après avoir reprit mon sang froid, je lui adressa subrepticement un sourire narquois et m'en alla chercher leur commande. Depuis je ne l'ai pa revue, mais elle ne pait rien pour attendre. Avec le temps, à cause de tout ces évènements, mon coeur est devenu aussi froid que la glace et aussi dur que la pierre. Rien ne peut plus m'atteindre...